L’aquarelle
L’aquarelle ne triche pas, elle répond à mon impatience, à mon attirance pour le risque. Il faut laisser sa part au blanc.
Après des années d’apprentissage à la peinture à l’huile je découvre l’aquarelle lors d’un voyage au Maroc que je parcours « à la manière de Delacroix « dont les carnets m’avaient stupéfaite. Peindre sur le vif devient un jeu, je joue avec la couleur et l’eau comme on jette un dé. La qualité d’une aquarelle se juge à la place réservée au blanc, l’audace remplace la technique.